Le lien entre l’autisme et les vaccins fait
l’objet d’un débat considérable depuis de nombreuses années, conduisant
des parents désemparés, menés en bateau par les médecins, à rechercher
la vérité par eux-mêmes. Et elle est brutale : les vaccins peuvent effectivement être une des causes de l’autisme. Explications.
Les vaccins : cause probable de l’autisme
Le Dr Andrew Wakefield, au Texas, a été le premier à
détecter un lien entre une maladie intestinale, l’autisme et le vaccin
rougeole-oreillons-rubéole (ROR).
Après cette découverte en 1996 et une recherche publiée en
1998, le médecin a été victime d’une vague mondiale de diffamation par
les gouvernements, les médias et les entreprises pharmaceutiques qui ont
conduit à la perte de sa licence de pratique de la médecine. Plus tard,
le Dr Andrew Wakefield est devenu un auteur à succès, fondant Strategic
Autism Initiative, et est devenu le directeur d’Autism Media Channel.
La révélation
Bien après, les tribunaux, les gouvernements et les
fabricants de vaccins ont affirmé que le vaccin ROR était une cause
probable de l’autisme et d’une maladie intestinale. Cependant, les
entreprises pharmaceutiques paient de grosses sommes aux victimes pour
tenter de compenser des dommages, ou en d’autres termes, pour acheter
leur silence…
Cette histoire publiée dans le Whiteout Press a intéressé Kathleen,
une des fidèles lectrices de ce journal, suscitant un engagement pour
cette cause. Elle explique :
« J’ai fait plusieurs recherches sur ce sujet pour un projet d’études et puis j’ai continué à suivre toutes les actualités liées, jusqu’à ce que je ne puisse plus le supporter. Et je n’ai pas d’enfant, je ne fais partie d’aucune organisation, je ne suis qu’une simple citoyenne qui observe… ».
« J’ai fait plusieurs recherches sur ce sujet pour un projet d’études et puis j’ai continué à suivre toutes les actualités liées, jusqu’à ce que je ne puisse plus le supporter. Et je n’ai pas d’enfant, je ne fais partie d’aucune organisation, je ne suis qu’une simple citoyenne qui observe… ».
Malgré la désinformation des médias, la nouvelle affirmant que les
vaccins sont une cause potentielle de l’autisme s’est répandue un peu
partout aux États-Unis. La jeune Kathleen ajoute :
« Je veux que cette information soit accessible à tous… Personne ne s’intéresse à cette situation désastreuse. Dans l’État de Washington, d’où je viens, les vaccins sont devenus obligatoires à l’école pour les enfants, ce qui est très effrayant ! ».
« Je veux que cette information soit accessible à tous… Personne ne s’intéresse à cette situation désastreuse. Dans l’État de Washington, d’où je viens, les vaccins sont devenus obligatoires à l’école pour les enfants, ce qui est très effrayant ! ».
Des décisions historiques !
En décembre 2012, le tribunal a admis que la recherche du Dr
Wakefield disait vrai : le vaccin ROR peut être une cause de l’autisme
et d’une maladie intestinale. Bien que cette nouvelle n’ait pas été
largement reportée, des supports indépendants tels que le site The
Liberty Beacon l’ont publiée.
Selon une publication de ce site qui date du 13 décembre 2012, le tribunal a décidé d’attribuer des centaines de milliers de dollars à Ryan Mojabi, dont les parents ont décrit les dommages graves et débilitants au niveau du cerveau et les troubles du spectre autistique (TSA) causés par le vaccin ROR.
Selon une publication de ce site qui date du 13 décembre 2012, le tribunal a décidé d’attribuer des centaines de milliers de dollars à Ryan Mojabi, dont les parents ont décrit les dommages graves et débilitants au niveau du cerveau et les troubles du spectre autistique (TSA) causés par le vaccin ROR.
D’autre part, les entreprises pharmaceutiques ont connu une autre
défaite lorsqu’Emily Moller, une jeune fille originaire de Houston, est
repartie du tribunal avec une indemnisation suite à des lésions
cérébrales liées au vaccin ROR, qui est la cause de son autisme.
Les tribunaux américains et italiens ont vu passer de nombreux cas similaires à celui de Ryan Mojabi et Emily Moller, tels que les cas d’Hannah Poling, Bailey Banks, Misty Hyatt, Kienan Freeman, Valentino Bocca et Julia Grimes.
Les tribunaux américains et italiens ont vu passer de nombreux cas similaires à celui de Ryan Mojabi et Emily Moller, tels que les cas d’Hannah Poling, Bailey Banks, Misty Hyatt, Kienan Freeman, Valentino Bocca et Julia Grimes.
Tous ces cas ont été étudiés et les tribunaux ont confirmé que le vaccin ROR était la cause de l’autisme et des dommages au cerveau chez les victimes après un diagnostic de troubles du spectre autistique (TSA).
En fin de compte, bien que la carrière et la réputation du Dr
Wakefield aient été ruinées, 15 ans plus tard, sa cause semble être
justifiée.
Dans une de ses publications, The Liberty Beacon rapporte : « Il est
vrai que de nombreuses études démontrent le lien entre une maladie
intestinale et l’autisme (précédemment constaté par le Dr Wakefield pour
démontrer les causes de l’autisme). La carrière du Dr Wakefield a été
détruite par de fausses allégations. Malgré cela, il continue de
travailler sans relâche pour la cause de l’autisme.
Et pour finir, voici quelques mots du Dr Wakefield :
« Les vaccins peuvent être la cause de l’autisme. Chez ces enfants, une
réaction indésirable se déclenche après un vaccin ROR impliquant une
lésion cérébrale qui progresse pour causer un autisme. Les parents
avaient raison : les gouvernements doivent arrêter de jouer avec les
mots pendant que la santé des enfants continue d’être endommagée. Mon
espoir est de reconnaître la maladie intestinale chez ces enfants pour
contribuer au soulagement de leur souffrance ».
Source:SantePlusMag
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